vendredi 8 janvier 2010

Vieux machin qui traînait dans mon sac.

Déraisonner, se laisser aller à l'illogisme le plus complet. Pour essayer de tout oublier. Même aller jusqu'à dire ce qu'on serait mieux de laisser, simplement pour chasser les points d'interrogations qui courent dans ma tête. Petit, tu as ravi mon coeur.
«There is one thing i can never give you, my heart will never be your own»
Je n'ai pas pu résister. Tu es si poli, je ne pouvais refuser.
Ensuite le spleen. Incapable d'écrire quelque chose de cohérent. Il y a des nuages qui font de l'ombre à ma logique et je suis incapable de penser normalement. C'est la grisaille dans mon coeur, il fait définitivement un temps de chien. Et je hais les chiens. Je ne suis pas Miss Météo, je ne sais pas combien de temps tout ça est supposé rester, je sais seulement que des averses sont à prévoir et que t'es mieux de mettre ton imperméable Petit. Je suis tannée de parler de météo, je parlerai donc de tes yeux, parce qu'ils ont pris la couleur du feu et que c'est la plus belle chose que la Terre n'aie jamais portée. Et je suis plus que contente d'y avoir un accès VIP même si ça fait extrêmenent peur de se mettre face à soi-même de cette manière.
Je ne savais pas quoi dire et je cherche encore mes mots. Je dois donc me taire.
Chut.
C'est fait.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

sandrine, merci pour ton commentaire sur mon blog. j'aime aussi le tien, il semblerait que j'ai bien lire les blogs 'états-d'âme'! en y pensant bien je trouve toujours étrange de savoir que je connais des bouts de vie de plusieurs personnes sur lesquelles je serais incapable de mettre un visage...

marie