mercredi 7 octobre 2009

Elle aurait préféré mourir plutôt que de composer avec le réel.

Aller-retour. Entre deux endroits plus ou moins distincts. D'un côté, un coeur qui fond sous la nostalgie, enterré sous des occasisons qui ne viennent jamais vraiment. Et de l'autre, une certitude, qui prend au ventre, qui fait perdre l'équilibre. Au centre, il n'y rien, Que le néant, celui qui effraie.
Aller-retour d'un endroit à l'autre. Tu me manges la ration Petit, c'est même pas permis. J'en perds le contrôle, une affaire de fou. Je parle de l'avenir, du nôtre, comme si c'était la chose la plus normale du monde.
Et pourtant, j'ai peur d'une peur si grande qu'elle ne se perçoit même plus.

Wish there was something I, could say or do
I can resist anything but, the temptation from you

4 commentaires:

TG a dit…

Merci.

Continue, j'ten pris, c'est beau.

J'espère que tu vas plus bien que pas bien.

B-C

mariephilippej a dit…

ces lignes me rappellent l'autoroute devenue balançoire qui me fait faire d'éternels aller-retour entre ma grande maison au bord du fleuve et mon appartement dans la métropole. Entre là où j'suis bien et là où j'dois être.

y'a de ces choses que je n'peux écrire.
merci de le faire.
x.

Pierre-Luc a dit…

Focus sur le côté qui va mieux et tout ira bien! -=)

Anonyme a dit…

Allez, fous m'en plein la gueule.

Et il est où le tien, d'équilibre?

G.-