Osti de SPM. Osti de n'importe quoi. Osti de moi, qui pleure, là, live là, et qui trouve rien de mieux que d'écrire sur une page blanche que je ne peux même pas toucher parce qu'elle se tacherait. Osti de monde virtuel. Osti de vie.
Je m'ennuie. J'ai la nostalgie qui plafonne au 14e étage pis qui flippe d'aplomb. Thug, je m'ennuie comme ca ne se peut pas. J'ai envie de tout laisser la, le petit copain y compris, pour revenir en 5e secondaire, en automne, avec Charlotte *** et Marie-Pier *** & le trio diabétique et ta face de thug Gabriel *** et l'amie de toujours Catherine ***. Osti je viens de nommer des gens sur un blog.
Osti, mais tabarnak ca ferait la meme chose. J'ai envie d'extrêmes, juste pour me prouver que ca se casse des ostis de patterns. J'écris avec 8 millions de fautes, tant pis. J'écris sans structure, tant pis.
Pour une fois c'est real. Pour une osti de fois sur ce blog, j'essaie d'impressioner no fucking one. Je suis moi avec toute la laideur que ca implque. Tant pis osti, tant pis. Je devrais pas écouter cette chanson là sur repeat. Mais ca me carbure à cracher du beurk dans le pire des mondes sur Terre. Pis vous, vous lisez ça pénard sur votre chaise en vous disant: Oups, la petite a pété un cable.
Plus qu'un. Je les ai tous débranchés. BIP. Erreur. J'essaie de tous les garder brancher.
Je veux aussi en profiter pour vous présenter un concept: l'amour à distance après 4 jours et demi de fréquentation.
CARPE DIEM.
Fuck it.
Fuck it sérieux.
De la marde.
Je vais partir no matter what.
Ya une petite destinée dans ce qu'on appelle le chemin de la vie et je vais la suivre. Pour une osti de fois je me mentirai pas.
Pour vrai ca apaise un peu écrire sans masque, sans voile, sans pudeur. Avec une petite peur des «conséquences» but who cares.
Who cares.
Tu veux mourir quand personne se soucie de ce que tu peux bien faire ou penser.
Mais tu veux aussi mourir quand t'as l'impression que tout le monde veut ton bien.
JE SUIS UNE HUMAINE.
Pire que vous. For real.
Mais je vais partir.
Partir.
Deux mois.
Partir.
Promis.
À moi, pour moi; partir.
Parce que malgré tous les sacres cest ce que je veux. Réellement. Au-dela de ce petit coin perdu virtuel.
mardi 24 février 2009
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6 commentaires:
Et vlan! Chassez le naturel...
Haaaa!!!!...si ma chaise était pénarde, comme tu le présumes, j'en serais bien heureux. Celle sur laquelle tu as écrit ce billet semblait survoltée. Pourquoi pas?
p.s. J'ai publié mais je sais si cela a fonctionné, alors je refais.
ouin, les nuages sont gris par ici. Chez nous aussi. Paraît que ça va passer.
Gnuuuuhhh... beau nom de famille. Pis parfume donc ton calisse de langage.
ca vault pas la peine, de gacher sa vie dseloigner dceux quon aime, desperer changer de vie...
Osti que c'est bon.
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